Fabrice Colin - Seuil Jeunesse


Ce qui peut plaire mais aussi rebuter le lecteur, c’est 168 pages de rêveries et de choses incompréhensibles, qui ne m’auront pas convaincue bien que la pop culture soit très présente, surtout Disney. Les intentions de l’auteur sont évidentes mais j’avoue qu’il me fut difficile de prendre du plaisir à lire ces fantaisies. Le roman raconte l’histoire d’un jeune garçon qui se change en toucan, et invente une machine à voyager dans le temps à huit ans. Tout cela à cause d’une maladie qui l’éloignerait de la réalité, lui, sa mère, sa femme et ses enfants. La fin dans l’ère jurassique a été pour moi la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de mon ennui.

Maylis Cormont