Alain Serres - Rue du Monde

Illustrateur : Silvia Bonanni

Cet album ressemble à un patchwork ; un patchwork des réactions, émotions, impressions des enfants par rapport au quotidien ou au monde qui les entoure : « Un enfant ça joue très mal du violon, mais ça continue parce qu’on lui dit : c’est bien ! », ou « Un enfant ça joue à la guerre, ça tire pan, ça tombe boum et ça se relève toujours ! »… « Mais ça déteste la guerre, la vraie, obscure comme la mort dont on ne revient jamais. » Le texte est très poétique, se prête à la lecture à voix haute et est aussi un tremplin pour que d’autres enfants expriment leur point de vue. Les illustrations très colorées de Sylvia Bonanni ressemblent aussi à un patchwork et font écho au texte, avec des enfants partout, dans tous les endroits de l’image, en train de jouer. Ce sont tous des enfants du monde, de toutes les couleurs et de toutes les cultures, et ce sont eux qui inventeront notre monde de demain. Une approche intéressante pour un message universel !

Cet album ressemble à un patchwork ; un patchwork des réactions, émotions,
impressions des enfants par rapport au quotidien ou au monde qui les entoure :
« Un enfant ça joue très mal du violon, mais ça continue parce qu’on lui dit :
c’est bien ! », ou « Un enfant ça joue à la guerre, ça tire pan, ça tombe boum et ça
se relève toujours ! »… « Mais ça déteste la guerre, la vraie, obscure comme la
mort dont on ne revient jamais. » Le texte est très poétique, se prête à la lecture
à voix haute et est aussi un tremplin pour que d’autres enfants expriment leur
point de vue. Les illustrations très colorées de Sylvia Bonanni ressemblent
aussi à un patchwork et font écho au texte, avec des enfants partout, dans tous
les endroits de l’image, en train de jouer. Ce sont tous des enfants du monde, de
toutes les couleurs et de toutes les cultures, et ce sont eux qui inventeront notre
monde de demain. Une approche intéressante pour un message universel !

Janie Coitit-Godfrey