Clôturant les thématiques littéraires de  l’année 2020 par une allusion à La Pléiade, Défense et Illustration de la littérature jeunesse est un N° spécial de 108 pages qui s’attaque à la question de la reconnaissance  de la LEJ  qui malgré l’apparent triomphe économique ou  la légitimation universitaire, pâtit du manque de considération accordé à une sous-littérature. Les voix diverses convergent vers deux interrogations majeures et faussement simples : en quoi la littérature jeunesse est -elle littéraire ?  qu’est-ce que le lecteur de cette littérature dite jeunesse ?