Nous y étions …

Nous y étions …

Séminaire Babil Babel le 28 septembre à Paris organisé par l’Agence quand les livres relient.
Passionnantes réflexions sur l’importance de former des enfants bilingues dès la petite enfance : les données récentes de la science montrent qu’un cerveau formé très tôt au bilinguisme aura des aptitudes à un plurilinguismes essentiel pour le monde de demain.

Voir NVL la revue n°217, Littérature multilingue pour enfants plurilingues

4 bouquins solidaires chez Rue du Monde

Pour la quinzième année, l’éditeur Rue du Monde s’associe avec le Secours Populaire pour permettre à 5 000 enfants « oubliés des vacances » de s’évader avec les livres. 4 « albums solidaires » sont ainsi publiés à leur bénéfice. Aidez-les en achetant au moins un de ces albums ! NVL la revue soutient cette action généreuse.

Cherchez la petite bête/Alain Boudet ; Solenn Larnicol
On commence demain/ Eric Battut
La grande chevauchée : 22 contes autour des chevaux du monde/Patrick Fischmann ; Bruno Pilorget
Les contes à la coque : 52 contes brefs à mijoter, tartiner et savourer les yeux fermés/Alain Serres ; Zaü

Nous y étions …

5 mai 2018 , le Bouscat (33).
Nous étions à la journée des Francas de Bordeaux qui portait sur la question de la jeunesse et des inégalités sociales.
Nous avons publié un numéro sur la littérature jeunesse et les inégalités sociales en décembre 2015 en collaboration avec un groupe de l’université de Dijon dirigé par Pierre Bruno, sociologue.
Il a été très intéressant de saisir le travail de l’Observatoire des inégalités représenté par
trois tables rondes qui ont abordé le problème sous des angles spécifiques:
– celui des enfants handicapés.
– celui des différences garçon-fille (on a eu le plaisir d’entendre le point de vue de jeunes dont le positionnement antisexiste était plutôt rassurant par rapport au contexte actuel).
– celui de l’école avec une inquiétude: l’école ne favoriserait elle pas les injustices sociales ?
Il y a dans le militantisme des Francas quelque chose qui nous va droit au coeur: avant tout, aussi éloigné de l’optimisme ravi que du pessimisme aboulique, le courage de prendre la réalité du monde et des êtres à bras le corps. Et y aller.

Claudine Charamnac Stupar

Partir en Livre 2017 avec le Centre Denise Escarpit et l’association La Gaboulhane

Du 19 au 30 juillet 2017

TEXTILES
Lieu : La Gaboulhane  à Vimpère  87440 La Chapelle Montbrandeix

EXPOSITION  « TEXTILES »
Alain BEGUERIE, photographies et  Cécile HARTL, installations
Du 19 au 30 juillet, de 14h à 18h tous les jours, gratuite

VERNISSAGE le samedi 22 juillet 18h

BALADE ET ATELIER CREATIF  « L’arbre à vœux » – vendredi 21 juillet  14h-17h
Animés par Cécile HARTL, enfants à partir de 5 ans, (max 10 enfants réserver)
Espaces de lecture nomade  enfants et ados, tapis livres bébé : animations gratuites
La Malle aux livres, livres jeunesse à prix réduit

CONCERT à la grange  « Tissages » :
Françoise LARRAT, piano, Aude EXTREMO, mezzo soprano, Joëlle LARRAT, Claudine STUPAR, récitantes, samedi 22 juillet 20h30  (places limitées, réserver)

RANDONNEE botanique et artistique animée par Cécile HARTL, 10km environ, départ de Vimpère,  rencontre avec les artistes et conférence en plein air aux Bonnes Fontaines de Cussac,  dimanche 23 juillet 14h  ( réserver)

CONFERENCE  « Du linge, des femmes et des sources »  par Marie-France HOUDART, aux Bonnes Fontaines 87150 Cussac, dimanche 23 juillet 16h

Infos sur le site NVL la revue/Centre Denise Escarpit ou Partir en livre
Réservation par mail : lagaboulhane@orange.fr ou SMS  au 06 88 43 30 38
Responsable : Claudine Charamnac Stupar

Partenariats :   Partir en livre 2017,  NVL la revue  et  le Centre Denise Escarpit à Bordeaux, l’association La Gaboulhane.

Au sujet des migrants…

En lien avec le numéro de NVL la revue Des migrants et des migrations de Décembre 2016, je vous recommande de lire les propos de Patrick Chamoiseau dans « L’utopie est une sorte d’oxygène », Télérama n°3516, 3-9 juin 2017.

… »La fraternité à leur égard est essentielle , il est impossible de ne pas se sentir concerné. Mais la compassion ne suffit pas: si on se limite à la dimension humanitaire , on risque de passer à côté d’une autre réalité,. Les migrants ne sont-ils pas en train de déchirer un voile entre nous et le monde tel que nous le percevons, Ils ne reconnaissent pas les frontières, ne sont plus assignés à une terre d’origine, prennent le risque de sauter dans l’inconnu, d’affronter la mort pour tenter quelque chose d’aujourd’hui inconnaissable:une nouvelle réalité de l’homme dans le monde. Les migrants anticipent une mobilité nouvelle… »